Recevoir un diagnostic de sclérose en plaques est loin d’être facile. C’est un changement de vie et un défi à bien des égards — sur le plan mental, émotionnel et professionnel. Vous ne voulez pas renoncer à votre ancienne vie, mais vous vous demandez comment vous allez faire face à la situation à partir de maintenant.
Le handicap au travail suscite beaucoup de craintes, d’incertitudes et de stigmatisation.
L’histoire de Jorge Mora, gestionnaire de fonds à Halifax, au Canada, est un exemple de résilience et d’optimisme. Dans les paragraphes suivants, vous découvrirez comment Jorge a réussi à faire de son handicap au travail une force.
Les symptômes d’un handicap peuvent s’accumuler et devenir très rapidement invalidants, jusqu’à ce que vous soyez finalement confronté à un diagnostic. Le fait d’être handicapé ne signifie pas qu’il est nécessaire de renoncer à une vie professionnelle. Il s’agit simplement d’accepter une nouvelle réalité et de s’y adapter.
« Mes jambes allaient de plus en plus mal et je suis tombé plusieurs fois. Un jour, j’étais seul au bureau et j’ai remarqué que je ne pouvais plus marcher ; je devais m’agripper aux murs ou à tout ce que je pouvais tenir pour atteindre ma voiture. Ces symptômes bizarres se sont poursuivis pendant quelques années et, à un moment donné, je ne pouvais plus marcher du tout. J’ai fini à l’hôpital et c’est là que j’ai reçu mon diagnostic : sclérose en plaques. La frustration, le désespoir et la dépression ont suivi ».
Jorge était très investi dans sa vie professionnelle, et le fait de recevoir un diagnostic de sclérose en plaques l’a amené à s’interroger sur son handicap au travail. Quel serait l’impact sur sa contribution au travail ? Comment ses collègues percevraient-ils son handicap ?
Chose certaine : Jorge n’avait pas l’intention d’arrêter de travailler.
« Je ne savais pas à quoi m’attendre, mais j’ai réalisé qu’il était urgent que je me trouve une aide à la marche. J’ai donc commis la première erreur en achetant en ligne un déambulateur quelconque, qui s’est avéré extrêmement inconfortable, totalement inadapté à mon corps et très cher ! Je ne l’aimais pas du tout ! J’ai donc cherché dans le magasin de déambulateurs de ma ville. Impossible d’en trouver un fait pour moi. Je voulais quelque chose adapté à mon corps, confortable, et beau ».
La stigmatisation liée à l’utilisation d’un déambulateur est une raison fréquente pour laquelle les personnes ayant des problèmes de mobilité reportent leur premier achat et veulent éviter d’être vues avec un déambulateur. Outre la stabilité et la sécurité, l’esthétique est très importante dans la décision d’achat. Car finalement, tout se résume à une chose simple : vous ne voulez pas vous sentir handicapé. Il est important d’utiliser une aide à la marche avec laquelle on n’a pas honte d’être vu.
« Un jour, j’ai vu qu’un ami atteint de sclérose en plaques avait publié une photo de son déambulateur Rollz. Il était bien différent des autres, il avait l’air cool ! J’ai fait quelques recherches en ligne et je me suis lancé. J’ai commandé un déambulateur Rollz auprès d’un distributeur au Canada ».
Avec Rollz, Jorge a trouvé un déambulateur répondant à toutes les caractéristiques souhaitées et lui permettant de conserver une partie importante de son identité — son travail. En plus, il a trouvé un outil de soutien mental et émotionnel.
« C’est l’une des meilleures décisions de ma vie ! J’ai acheté le Rollz Motion violet. Je l’ai appelé Poe, comme la mascotte de mon équipe de football américain préférée, les Baltimore Ravens ».
« Le Poe est unique parce qu’il est si bien conçu qu’il semble être une extension naturelle de mon corps. En plus, il a l’air très cool ! Il est si facile de le ranger dans le coffre de ma voiture que je peux à nouveau partir en voyage. J’ai beau être handicapé, je veux être beau. Poe allie la facilité d’utilisation et le design, de sorte que je ne me sens pas handicapé lorsque je l’utilise ».
Le handicap au travail franchit une nouvelle étape
Être un professionnel handicapé c’est plus que porter la charge émotionnelle. Il faut aussi trouver des moyens pratiques de s’adapter à un environnement de travail qui n’est pas toujours adapté à nos besoins. Les ascenseurs, les rampes et les allées accessibles aux déambulateurs sont des aspects importants à prendre en compte et à demander à votre lieu de travail.
Jorge a réussi à y parvenir et continue à se plaire dans son travail avec le soutien de Poe.
« Poe a changé ma vie ! Je peux maintenant aller dans des endroits où je ne pouvais pas aller avant. Quand j’ai besoin de me reposer, je peux faire une pause. Au travail, je me sens maintenant en sécurité. Je viens au bureau tous les jours, alors les jours où j’ai des problèmes avec mes jambes, j’emmène tout simplement Poe avec moi et je peux me déplacer sans problème. Je peux profiter d’activités comme la fête d’Halloween au bureau. Comme vous pouvez le voir sur la photo, j’ai pu me déplacer et interagir avec tous mes collègues. Il n’y a aucun inconvénient à utiliser Poe au bureau ou pour faire les courses ».
Ce qu’il y a de plus important chez Rollz, c’est d’aider les gens à conserver leur style de vie et à atteindre leurs buts, tout en les aidant à surmonter le sentiment d’incapacité au travail et à l’extérieur du travail. Comme Jorge, de nombreux utilisateurs de Rollz ont donné un nom à leur déambulateur et sont fiers de l’utiliser tous les jours. Chez Rollz, c’est mission accomplie, un client heureux à la fois.
Jorge poursuit : « Je suis plus indépendant et j’ai l’impression d’avoir retrouvé une partie de ma vie que je croyais perdue. J’ai l’impression de pouvoir prendre en charge ma situation difficile au lieu de dépendre des autres ».
« Merci, Rollz! Je me réjouis de vivre des années d’aventures avec Poe ! »
Merci, Jorge, d’avoir partagé votre histoire avec nous. Bienvenue dans la famille Rollz!